lundi 29 juin 2009

6 mois de musique...

Alors que la date officielle du début des vacances n'est plus qu'à un jour, il serait peut-être temps de faire le point sur les albums qui m'ont particulièrement marquée en cette première moitié de l'année. Il s'agit bien sûr d'un classement provisoire et surtout basée sur mon nombre d'écoutes de chaque albums recueilli sur mon compte last.fm.

1. Animal Collective - Merriweather Post Pavilion
2. Ghinzu - Mirror Mirror
3. Grizzly Bear - Veckatimest
4. Franz Ferdinand - Tonight: Franz Ferdinand
5. The Love Language
6. Kasabian - The West Rider Pauper Lunatic Asylum
7. M. Ward - Hold Time
8. Yeah Yeah Yeas - It's Blitz !
9. The Horrors - Primary Colours
10. Peaches - I Feel Cream
11. The Maccabees - Wall of Arms
12. Patrick Wolf - The Bachelor
13. Mando Diao - Give me Fire !
14. Sunset Rubdown - Dragonslayer
15. Official Secret Acts - Understanding Electricity
16. Placebo - Battle for the Sun
17. La Roux
18. Malajube - Labyrinthes
19. IAMX - Kingdom of Welcome Addiction
20. Gossip - Music for Men
21. Little Boots - Hands
22. Yacht - See Mystery Lights

C'est bien connu, le temps joue un rôle très important dans l'assimilation d'un album. C'est pourquoi, des albums a priori très bon comme celui d'IAMX, n'ont pas réussi à me captiver assez longtemps pour avoir une bonne place dans le classement, tandis que d'autres, comme The Horrors ou les Animal Collective, que je trouvais bon mais sans plus, ont pourtant réussi à produire un effet remarquable à travers le temps.
D'autres, comme Yacht, La Roux et Gossip, sont arrivés assez tard, ce qui explique également leur position assez basse dans le classement.

Quoiqu'il en soit, cette année 2009 se trouve être une année vraiment bonne au niveau musical (à part le récent décès du roi de la pop...), avec des sorties d'albums de tous les bons groupes du moment. C'est aussi assez difficile d'essayer de pouvoir écouter toutes les choses intéressantes, et ce n'est pas prêt de s'arranger avec tout ce qui nous attends avant la fin de cette année !

dimanche 28 juin 2009

Tiga - Shoes (2009)


Single issu de l'album 'Ciao !' (Sortie: 20 Avril 2009)

La Roux (2009)

Après la blonde Little Boots, voici la rousse qui elle aussi nous sort son tout premier album cette année, en espérant se démarquer de la rude concurrence déjà existante. La Roux est en fait un duo, bien que Elly Jackson, soit la seule à apparaître sur les artworks et compagnie. Le deuxième membre est Ben Langmaid, qui donc préfère rester dans l'ombre mais qui a réussi, en formant une bonne équipe avec Elly, à faire transparaître sa musique électro-pop des années 80.

Il y a beaucoup de points commun entre la blonde et la rousse 'du moment'; notamment leur son électro/Synth pop et biensûr, ce sentiment de fraicheur qu'elle tente d'apporter dans la musique contemporraine. Il y a malgré tout des différences bien marquées qui arrivent à départager les deux artistes; alors que la musique de Little Boots est le plus centrée autour de samples électro, celle de La Roux est plus 'dance', et surement plus adaptée pour les clubs. Après, il s'agit d'une question de goût,mais en ce qui me concerne, l'album de La Roux est vraiment très bon et plus consistent que celui de Little Boots; les quatre premiers titres sont des tueries ('In for the Kill', 'Tigerly', 'Quicksand' et 'Bulletproof') et le reste de l'album, malgré un léger essoufflement vers le milieu, reste quand-même très bon. A vrai dire, je ne peux m'empêcher de penser à Royksopp à certains moments, notamment avec 'Bulletproof' qui ressemblent assez fort à 'The Girl and the Robot'. Si certains pourraient voir celà comme un manque d'inspiration, il n'en est rien puisque je dirais que c'est même meilleur que l'album des deux Dj's scandinaves.ll ne faut quand-même pas non plus s'attendre à quelque chose de totalement tordu et innovant de la part de La Roux; comme pour Little Boots, il s'agit plus d'un dérivé d'un style plutôt que d'innovation. Cependant, l'album est vraiment très bon et c'est suffisant pour l'apprécier comme il le mérite.

8,5/10

'Bulletproof':

Sortie: 29 Juin 2009

samedi 27 juin 2009

Michael Jackson - King of Pop


1958 ~ 2009

mercredi 24 juin 2009

The Mars Volta - Octahedron (2009)

Les Mars Volta sont un groupe qui ne chaume pas; ils sortent un album quasi chaque année et Omar Rodriguez-Lopez, le guitariste, sort même plusieurs albums par an. Avec tout ça, on pourrait se demander comment le groupe arrive à pondre autant de mélodies et de chansons et surtout, rester crédible, car le talent des Mars Volta n'est plus à démontrer, notamment grâce à leur excellent premier album 'De-Loused in the Commatorium' sorti en 2003. Voici donc leur 5ème album studio qui, selon Cedric Bixler-Zavala (le chanteur), devait annoncer quelque chose de différent.

'Différent' est sans aucun doute un adjectif qu'on peut facilement attribuer au groupe, que ce soit pour leur musique qui est un style de rock/metal/progressif avec des influences latines, sans parler de leurs idées farfelues concernant les thèmes de leurs albums (et il en va de même en ce qui concerne les titres de chansons/albums). A côté de cette extravagance, il faut avouer que le groupe s'est toujours bien défendu et a toujours réussi à proposer quelque chose d'original. Cependant, aucun de leurs albums n'a vraiment réussi à me toucher comme l'a fait leur premier opus. Je suis en faite totalement passée à côté de l'album précédent 'The Bedlam in Goliath' qui n'avait pas réussi à aiguiser ma curiosité. Mais il a suffit que l'adjectif 'différent' réapparaisse pour me faire écoute ce nouvel album, qui malgré un style plus direct, met en évidence toute la problématique du groupe: on aime ou on aime pas.
'Octahedron' est un album audacieux, et le groupe le restera toujours de toute façon, mais l'accent mis sur des chansons plus lentes à la 'The Widow' ne réussi qu'à moitié...L'intro 'Since We've Been Wrong' est assez bonne et provoque une agréable surprise; c'est donc un début d'album assez subtile, doux, voir mystérieux...mais quand ça dure pendant plusieurs chansons (notamment jusqu'à 'Cotopaxi' qu'on pourrait qualifier de bon vieux Mars Volta pur et dur), ça devient assez ennuyant. Les fans d' ambiant s'insurgeront peut-être contre mes dires, mais c'est un peu trop mou, ou plutôt pas du même calibre que des tubes du même style ont déjà réussi à provoquer sur les albums précédents. A vrai dire, il y a un climax sur cet album qui a vraiment du mal à arriver, voir qui passe inaperçu. Même les chansons plus rythmées ont vraiment du mal à convaincre...

A côté de ça il y a malgré tout cette aura et la signature du 'style Mars Volta' qui en jette toujours autant, que ce soit au niveau de la voix de Cédric ou des solos d'Omar, mais le tout donne plus l'impression d'être un collectif de b-side que d'être un véritable tournant ou étape dans la carrière du groupe.

6,5/10

'Teflon':

Sortie: 23 juin 2009

Yacht - See Mystery Lights (2009)

Malgré ses faux airs de Mika, la musique de Yacht, de son vrai nom Jonathan Warren Bechtolt, n'a vraiment rien à voir avec son collègue qui voit la vie comme un dessin animé; ceux qui le connaissent déjà savent qu'il s'agit d'un musicien électro et d'un artiste de multimédia et qu'il s'agit déjà de son 4ème album, sur lequel il fait également équipe avec Claire Evans et DFA Records.

Ne connaissant rien du parcours de l'artiste, je ne peux donc que me baser sur cet album. A vrai dire, je n'aurais peut-être pas apprécié cet album il y a quelques mois. 2009 m'a ouvert les portes de l'univers de la pop/electro experimentale avec des groupes comme Animal Collectif que je n'arrivais pas vraiment à cerner avant. 'See Mystery Lights' se classe dans ce genre de musique mais est bien plus direct que le collectif animalier; si 'Ring the Bells' a exactement le même début que 'Derek', l'univers de cet album se résume à beaucoup de clins d'oeils pour former une sorte de compile des choses les plus excitantes qu'on peut entendre à l'heure d'aujourd'hui; on retrouve de l'électro, un peu d'indie pop expérimentale et une atmosphère de 'trance' sur l'épique 'It's Boring (You can live Anywhere)'. Tout comme 'Merryweather Post Pavilion', il s'agit d'un album d'été mais beaucoup plus axé sur les dancefloors.Du côté des points faibles il n'y en a pas vraiment, c'est un album qui marche surtout bien en tant qu'ensemble, il n'y a donc pas vraiment de chanson qui se détacherait plus qu'une autre mais le tout s'enchaîne plutôt bien. Il s'agit également d'un 'grower'; c'est un album qui demande du temps mais vu que la qualité est là, c'est assez difficile de décrocher!

8/10


'Psychic City':
Sortie: 28 juillet 2009

lundi 22 juin 2009

(The) Gossip - Music for Men (2009)

(The)Gossip est un groupe qui passe rarement inaperçu, notamment avec sa chanteuse Beth Diddo qui a une voix aussi remarquable que son physique. Il s'agit également d'un groupe qui existe depuis 2000 mais qui s'est fait surtout connaitre ces dernières années avec le fameux single 'Standing in the Way of Control', de l'album du même nom sorti en 2006. Le groupe a donc prit 3 ans pour nous pondre 'Music for Men' qui s'avère être une bonne bulle d'oxygène depuis le début de l'année.

La bande à Beth Ditto pourrait se rattacher au train d'autres groupes comme les Yeah Yeah Yeahs, Metric et Noisettes. Connu pour le son rock assez sec mais teinté de blues/soul grâce à la voix de Beth Ditto, les Gossip n'ont pourtant pas réussi à résister à la vague des 80s qui semble contaminer tous les groupes en ce moment; on retrouve donc pas mal de synthés et d'autre sonorités des années 80 sur cette galette ('Four Letter Word' notamment), qui pourtant arrivent à faire passer la pilule assez facilement. Là où ça ne marche pas toujours pour le groupe de Karen O (YYY's), les Gossip arrivent à transformer leur musique en quelque chose d'assez convaincant et pas aussi 'clichématique' que ses collègues. A vrai dire, le hasard fait plutôt bien les choses car 'Music for Men' représente une bonne synthèse de ce qui s'est fait depuis le début de l'année. On retrouve donc une touche des groupes cités plus haut, mais aussi du Franz Ferdinand ('Men in Love') ou quelque chose d'un peu plus électro avec 'Pop Goes the World', avec des rythmes tantôt dansants tantôt plus calmes et plus sombres ('Vertical Rythm')...et toujours avec cette voix de black de Beth Ditto. Alors certes, il y a des chansons qui sont moins percutantes mais cette envie pressante de danser en entendant les créations du gorupe reste bien présente du début à la fin.

'Encore un xème album de synth revival' pourrait-on dire, mais pour une fois voilà enfin quelque chose de beaucoup plus consistant et qui devrait arriver sans trop de mal à réconcilier les allergiques des 80s. Ceux qui ont été déçu par les Yeah Yeah Yeahs et ceux qui seraient intéressés d'entendre les Noisettes en plus hard, voilà qui devrait faire votre bonheur...!

7,8/10


'Heavy Cross':


Sortie: 22 juin 2009

mercredi 17 juin 2009

Animal Collective - Summertime Clothes (2009)

Pour le plaisir, les vacances qui s'annoncent...et surtout parce qu'il s'agit d'un de mes albums préférés de cette année !

Single issu de l'album 'Merriweather Post Pavilion' (Sortie 20 janvier 2009)

dimanche 14 juin 2009

Neko Case - People Got a Lotta Nerve (2009)


Single issu de l'album 'Middle Cyclone' (Sortie: 3 mars 2009)

mardi 9 juin 2009

DatA - One in a Million (2009)

'Made in France'

Single issu de l'album 'Skywriter' (sortie 26 mai 2009)

dimanche 7 juin 2009

Eels - Hombre Lobo: 12 songs of Desire (2009)

Je ne sais pas si j'ai vraiment besoin de présenter Eels, qui est le genre d'artistes qu'on connait tous 'inconsciemment' lorsqu'on entend une chanson et qu'on arrive pas à retomber sur le nom de l'artiste. Pour la forme, Eels est un groupe provenant des Etats-Unis (Californie) est qui est centré autour du personnage de Mark Oliver Everett, qui en est le principal compositeur et chanteur. C'est à vrai dire le seul membre constant du groupe puisqu'il choisit souvent le line-up qui doit l'accompagner selon ses envies et ses albums. La discographie de Eels est assez longue car il s'agit déjà du 12ème album studio.

En écoutant cet album, on arrive facilement à trouver l'origine du groupe vu la bonne dose d' 'Americana' présente sur cet album qui mélange pop rock, country, un peu de blues,...bref, toutes les spécialités 'Américaines'. Il n'y a donc pas vraiment de surprise quant au style mais le tout arrive quand-même à captivé. 'Prizefighter' ouvre le bal avec ses sonorités lo-fi, qui apparaissent plus d'une fois notamment avec 'Tremendous Dynamite' qui fait penser à la célèbre chanson de Charly Feather, 'A Certain Female', avec sa voix rocailleuse, son son assez crade et lourd. A vrai dire, cette chanson serait parfaite pour un road-movie à l'américaine. D'autres comparaisons d'artistes apparaissent également avec 'Fresh Blood', qui balance entre du Gorillaz et du Serge Gainsbourg, mais la figure principale qui se dégage c'est celle de Beck; les fans de ce monsieur devraient se régaler avec cet album. Au niveau des paroles, le titre de l'album est bien choisi car elles tournent justement autour du 'désir', de la mélancholie et de la douleur, illustrées par des chansons poignantes comme 'The Look You Give That Guy' et 'The Longing'.

Le problème avec cet album sont les quelques titres plus faibles qui pénalisent un peu l'ensemble et qui pourraient arriver à le faire oublier assez rapidement mais il s'agit quand-même d'une galette respectable qui arrive à satisfaire d'une façon générale.

7/10

'Fresh Blood':
Sortie: 1 Juin 2009

mercredi 3 juin 2009

Little Boots - Hands (2009)

Voilà une demoiselle qui provoque pas mal de vagues depuis qu'elle a été citée comme faisant partie des 'next big things' de la BBC, notamment dans la catégorie féminine qu'elle partage avec Laroux (dont l'album devrait bientôt arriver et qui annonce autant de bonnes choses) et depuis la sortie en début d'année de son EP contenant les deux tubes 'Stuck in Repeat' et 'Meddle', sans parler des remix comme celui de 'Love Kills' de Freddie Mercury, qui sérieusement, cassent la baraque. En gros, Little Boots, de son vrai nom Victoria Hesketh, n'a eu de cesse de rendre ses premiers fans impatients quant à la sortie très attendue de son premier album qui annonçait un mélange assez pétillant de pop, d'électro et de disco.

Il n'est pas vraiment facile pour une artiste féminine d'innover sur la scène musicale en ce moment; on l'a vu avec Madonna et son dernier album, qui vient plutôt se raccrocher au train déjà en marche que de vraiment lancer quelque chose de nouveau. En plus de cela, des artistes comme Lady Gaga (j'en passe et des meilleures) arrivent d'une façon déconcertante à remettre en question le trône de la reine de la pop. En ce qui concerne Little Boots, elle a adopté une des façon les plus faciles pour se faire sa place en nous offrant une galette qui représente un condensé de ce qui se fait de mieux en ce moment dans le secteur de la pop féminine; entre Goldfrapp, Lady Gaga, Sugababes, Girls Aloud et Madonna, il y en a pour tous les goûts et pour toutes les couleurs. La marque de fabrique de Little Boots reste quand-même l'électro, un style qu'elle offre accessible à tous sur cet album en bidulant avec ses gadgets et nous offre des samples mémorables comme sur 'Stuck on Repeat' ou 'Remedy' avec un début qui frôle le domaine de la techno.
Il n'y a certes pas vraiment d'innovation, on appelera ça plutôt une variation d'un style, mais 'Hands' contient assez de tubes pour gommer ses chansons à potentiel plus faible et se montre d'ors et déjà être un candidat idéal d'une bande-son pour l'été.

7,7/10

'New in Town':
Sortie: 8 juin 2009

mardi 2 juin 2009

Sébastien Schuller - Evenfall (2009)

A l'heure d'aujourd'hui, les prénoms 'Sebastien' (et ses dérivés) sont assez 'in' dans le monde de l'électronique (Sébastien Tellier, SebastiAn, ...); c'est pourquoi je dois avouer que je m'attendais à quelque chose de la même trempe en lisant ce nom. Sébastien Schuller est un artiste français qui a fait ses débuts en 2005 avec l'album 'Happiness' et qui marque donc son retour cette année avec 'Evenfall'. Je n'étais pas tellement loin d'avoir faux en évoquant un style électro puisque ce dernier, malgré assez discret, est quand-même présent sur son album.

La force de cet opus réside surtout dans sa fragilité. Les premiers artistes qui me viennent en tête à l'écoute d' 'Evenfall' sont les Portishead et Thom Yorke. Le style de Sébastien Schuller peut en effet être caractérisé de Trip Hop mais ne peut pas non plus se dissocier de la musique d'un des plus grands artistes contemporrain et frontman de Radiohead. Les deux hommes partagent en effet beaucoup de choses en commun, comme une voix, puissante et fragile à la voix mais tout aussi belle et un univers musical assez similaire, où le piano accompagné d'un peu d'électro est omni-présent. Cette ressemblance avec son homologue britannique est d'ailleurs frappante lors de l'écoute de 'Morning Mist', première chanson de l'album qui débute avec des notes de piano poignantes et galopantes et qui se retrouvent accompagnées de la voix de Sébastien; pas d'autres artifices ni effets, mais le résultat est magnifique. Le reste de l'album est similaire; les chansons sont construites autour d'un instrument classique, que ce soit le piano,violon ou d'autres, et ne développent du rythmes que vers le milieu, le tout accompagné d'une électro assez discrète et douce. Je cite au passage la beauté des compositions de ces chansons qui ne devraient pas laisser les fans de post-rock à la Sigur Rós indifférents.Il y a tout de même un paradoxe dans cet album et il s'agit de la voix de Sébastien. D'un côté, c'est une très jolie voix, qui ,comme je l'ai cité plus haut, n'est pas sans rappeler celle de Thom Yorke. Et pourtant, les paroles se trouvent être incompréhensibles au moment de l'écoute, ce qui s'avère être assez dommage car accompagnées de telles mélodies leur signification ne peut être qe des plus importantes, mais la seule chose qu'on arrive à distinguer c'est la prononciation assez dérangeante des mots de la part de leur interlocuteur, cette prononciation assez sec et tranchante vient littéralement couper la douceur de la voix de Sébastien et donne un effet de 'parasytes'. De plus, la répétition de certaines syllabes laisse entrevoir une répétition de mots et ça donne une impression de manque d'inspiration (ce qu'il faudra vérifier quand les paroles seront disponibles). Au final, j'ai donc envie de dire que la voix de Sébastien est un peu de trop dans certaines chansons qui auraient peut être pu avoir plus d'effets et d'impacte en restant instrumentales.
A côté de cela, c'est un album qui s'adresse à des fans avertit; ceux qui ont été déçu par l'album solo de Thom Yorke ou qui en demandent encore mais dans un style de 'Video Tape' devraient être vraiment comblés; les autres ne trouveront peut être que quelques moments sympas, mais sans plus.

Sébastien Schuller est un artiste à découvrir, avec un album imparfait, parfois ennuyeux et d'autres fois beau à vous faire pleurer...c'est peut être aussi ça la défintition de l'art!

7,3/10
'The Border':

Sortie: 25 mai 2009

  © Blogger template por Emporium Digital 2008

Voltar para o TOPO